ANAÏS PARADIS-SANSCHAGRIN

Anaïs Paradis est la fille de Philomène Paradis et de Paul Paradis, marchand. Elle est née le 7 janvier 1876.

Elle épouse Joseph-Léger Sanschagrin (1878-1955), commerçant, le 20 septembre 1899 dans l’église de la paroisse de Notre-Dame-de-Portneuf. De cette union vont naître treize enfants dont : Paul-François-Angelbert (1900-1934), devenu prêtre, Simonne (aussi orthographié Simone) (1902-1922), Joseph Gédéon Léopold (1903-1903), Marie Marguerite Suzanne (1904-1919), Marie Juliette Girardine (1905-1906), Marie Thérèse Albertine (1907-1978), Marie Célina Marcelle (1908-1909), jumelle, Mariette Julia (1908-1982), jumelle, Marie Marthe Colombe (1911-1948), Marie Colette Charlotte (1912-1913), Françoise (1916- après 1999), qui est devenue religieuse chez les Dominicaines de la Trinité, et Louis d’Anjou (1917-1999), entré chez les Jésuites.

Lors du recensement canadien de 1911, la famille habite sur la rue Sainte-Julie à Trois-Rivières. Dix ans plus tard, la famille réside sur le boulevard Saint-Louis.

Anaïs Paradis-Sanschagrin est décédée en 1952.

Quant au photographe, Harvey Rivard, il est aussi artiste. Né en 1913 à Trois-Rivières, il étudie à l’École des Beaux-Arts de Montréal. Il fait ensuite un stage à la maison J. E. Livernois limitée à Québec dirigée par Jules Livernois, fils de Jules-Ernest, photographe fondateur (1851-1933).

C’est en 1933 qu’Harvey Rivard ouvre son commerce au 1439 de la rue Notre-Dame à Trois-Rivières et qu’il débute une carrière de photographe-portraitiste qui s’échelonne sur plus de soixante années. Il a pris au-delà de 100 000 clichés avec son célèbre « Eastman Kodak ».

Il est décédé en 1995.

Don d’un collectionneur
Collection Musée Pierre-Boucher
2008 479 PA